samedi 26 août 2017

Un sentier remis à neuf! Le dur travail de replacer les pas perdus après avoir arraché les mauvaises herbes, nettoyé les plantes des tiges inutiles, coupé les fleurs mortes. Je suis récompensée quand je peux reprendre mon sentier sans trébucher sur la petite pervenche qui prend possession de tous les espaces, libres ou pas. Je me dirige donc vers la lavande, le thym et les pousses de menthe. Ces dernières en arrachent, c'est le cas de le dire car la pervenche vole et parasite même la menthe bien endurcie et que je croyais établie. Je craignais qu'elle ne déborde de son petit lit et saute dans ma plate-bande de hostas et d'hémérocalles. Toutefois, c'est la pervenche et la bugle rampante qui l'ont envahie. Il faut arracher la pervenche avec vigueur et sans pitié. Je m’accorde cette violence au jardin, enlever la vie aux plantes. Je sais bien que je peux jeter mes tiges de pervenche et de bugle rampante dans un bout de terrain abandonné et elles renaîtront. Le jardin nous accorde sans cesse des surprises. Nous avons de quoi nous réjouir ou nous peiner à chaque matin en faisant simplement un tour de jardin. Ce qui m’émerveille dans le jardinage, le plaisir qu’on y trouve à savoir qu’on peut tout recommencer, modifier, améliorer, jardiner c’est jouer avec l’infini. Le bonheur quoi!

mardi 1 août 2017




Le parc de Hopewell Rock. Un paysage à couper le souffle! J'ai eu la chance de marcher sur le plancher de l'océan. Nous avons eu un guide avec un excellent sens de l'humour et de solides connaissances.  Quelle chance de vivre au Canada! Il y a des merveilles de la nature incomparables à tout ce que j'ai vu ailleurs dans le monde. Il y a aussi des gens tellement sympathiques que nous ne voulons pas aller vivre ailleurs.  Il y avait la marée basse vers quatorze heures. Nous sommes retournés vers vingt heures pour constater que le planche de l'océan sur lequel nous avions marché vers treize heures était maintenant recouver d'environ quarante pieds de cette eau salée et brune qui constitue l